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Comment Sylvain Carufel touche 20 MILLIONS de personnes par semaine

Dans cette interview, Sylvain Carufel nous en dit un peu sur comment il a réussi à toucher 20 millions de personnes par semaine.



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Ressources :

Transcription texte (littérale) :

Olivier Roland : Bonjour. Je suis actuellement avec Sylvain Carufel. Salut Sylvain !

Sylvain Carufel : Ça va ?

Olivier Roland : Oui, ça va.

Donc là, je suis actuellement au Québec. Sylvain m’a invité à intervenir dans son groupe mastermind. On est dans sa maison à Sainte-Adèle qui est un petit village au nord de Montréal.

Sylvain Carufel : Exactement. A une heure au nord de Montréal. Bienvenue chez nous !

Olivier Roland : On est dans la campagne, c’est vraiment magnifique d’ailleurs, et j’ai voulu t’interviewer parce que tu es créateur du blog et de la page Facebook « La solution est en vous ».

Sylvain Carufel : Oui.

Olivier Roland : Aujourd’hui, c’est une page qui cartonne complètement.

Sylvain Carufel : Ça va bien.

Olivier Roland : Au moment où on fait cette vidéo, tu approches les deux millions. Au moment où la vidéo sera publiée, tu auras sans doute dépassé deux millions depuis un moment. C’est vraiment impressionnant.

Tu commences vraiment à être connu par rapport à ça. Quand on dit deux millions de fans, en gros, tu touches 20 millions de personnes par mois parce qu’en moyenne, ces 2 millions de fans partagent à 10 personnes.

Sylvain Carufel : 20 millions par semaine.

Olivier Roland : Par semaine ?

Sylvain Carufel : Oui.

Olivier Roland : Incroyable. En moyenne, ces 2 millions de personnes partagent à 10 personnes par semaine. Donc, c’est vraiment impressionnant. Je veux dire, là, c’est ce qu’on appelle le reach sur Facebook.

Ça veut dire que le nombre de gens que tu touches divisé par l’audience, c’est 10 fois là. Et en général quand on est sur Facebook, on est content quand on fait du 15-20%, donc 0,15-0,2. Là, on est sur du dix fois.

C’est un truc impressionnant parce que Facebook, normalement, ne nous montre qu’une toute petite partie de notre audience et il faut payer pour le reste. Tandis que toi, c’est entièrement gratuit, c’est 100% organique.

C’est intéressant. Aujourd’hui, tu as un business qui marche bien en ligne, mais ça n’a pas toujours été le cas. Donc, je voudrais qu’on parle un peu de ton histoire.

Sylvain Carufel : Oui, si tu veux.

A la base, je suis musicien, auteur, compositeur et interprète. J’ai évolué dans ce milieu-là pendant longtemps. Et puis, j’ai créé « La solution est en vous » après avoir traversé une période difficile dans ma vie où mes repères ont foutu le camp.

Notre maison avait brûlé, je me suis séparé à ce moment-là avec la mère de mon fils, j’étais surendetté. C’est la totale. C’était la tempête, la turbulence. Et puis, j’ai cherché à rétablir et à retrouver un équilibre dans la vie, alors je me suis tourné vers le développement personnel.

J’ai écouté beaucoup d’émissions sur le développement personnel, je lisais beaucoup de livres, j’ai suivi des formations. Ça a été ma façon à moi de retrouver un équilibre dans ma vie.

A partir d’un certain point, j’ai étudié le marketing web depuis quelques années..

Olivier Roland : A la base, tu es un musicien professionnel.

Sylvain Carufel : Oui.

Olivier Roland : Et donc, tu quittes ta femme, ta maison brûle. Et en tant que musicien, tu ne gagnais pas beaucoup ta vie. Tu disais que tu étais en surendettement.

Sylvain Carufel : Oui, c’est ça. J’avais mal géré mes finances, je ne savais pas comment bien gérer mes finances.

Ce que j’ai fait, c’est que, je suis allé chercher quelqu’un pour m’aider à mieux gérer mes finances. J’ai cherché des experts en alimentation, en remise en forme, en estime et confiance personnelle. Je me suis entouré. Et j’ai appliqué des modèles en marketing web pour lancer mon entreprise autour de ça.

Olivier Roland : On va rentrer un peu plus dans les détails parce que c’est passionnant.

Tu as quand même vécu quelque chose qui n’est pas facile et surtout tout en même temps. Pour certaines personnes, ça aurait pu être un peu écrasant et tu as réussi à t’en sortir.

Déjà tu nous as donné une piste sur comment tu as réussi à faire ça, c’est que tu as été voir des gens qui pouvaient t’aider.

Sylvain Carufel : Oui.

Olivier Roland : Oui, donc tu as été voir des gens qui pouvaient t’aider à sortir de la dette.

Sylvain Carufel : J’ai cherché des ressources autour de moi. Je n’avais pas les moyens de me payer un coach à ce moment-là. Donc, plutôt que d’essayer d’aller engager un coach, j’ai cherché dans mon entourage qui est-ce que je connaissais qui pourrait m’aider.

Et donc, j’ai trouvé un coach. Puis, on a pris une entente. Je ne savais pas trop comment j’allais le payer au début, mais finalement on a fini par faire du troc.

Olivier Roland : C’est-à-dire, qu’est-ce que tu as proposé ?

Sylvain Carufel : Il est devenu associé de mon entreprise au départ de mon premier lancement que j’ai fait.

On ne savait pas trop sur quoi ça allait déboucher, mais il a eu confiance en moi, il a investi en moi. Mais c’est aussi parce que j’ai démontré que j’avais la volonté de reprendre ma vie en main et de faire avancer les choses.

Et c’est pour ça que j’étudiais le marketing web parce qu’en tant que musicien, je cherchais à faire ma promotion et j’étais tombé sur des gourous du marketing américain comme Frank Kern, Jeff Walker, Brendon Burchard. C’était les trois gros piliers que j’ai découverts au départ. Et puis, Bryan Dails ensuite.

J’ai regardé ce que ces gars-là faisaient. Et puis, en fait, je n’étais pas au courant qu’en France à ce moment-là, il se passait des choses. Que toi et tes copains, vous étiez déjà lancés dans cette direction.

Donc, j’ai étudié des modèles. Et là, j’obtenais de bons résultats avec le coaching de la personne que je suis allé voir, qui était Jean-Pierre Garnier. Je me suis dit : tu as une méthode qui fonctionne.

J’ai étudié des modèles en marketing. J’avais un peu de matériel de studio. J’avais un studio d’enregistrement en tant que musicien. Donc, j’ai étudié, j’ai utilisé ça, j’ai emprunté une caméra vidéo parce que je n’en avais pas.

J’ai économisé. Je me suis acheté un ordi juste assez performant pour pouvoir faire du montage vidéo. Je me suis lancé. Puis, j’ai appliqué

Olivier Roland : Donc, tu as commencé par la vidéo ?

Sylvain Carufel : Oui. Tout de suite, j’ai commencé à faire des vidéos.

Olivier Roland : Intéressant. Pour ta chaîne. Et pour une chaîne, tu l’as mis sur la chaîne YouTube et sur ton blog ?

Sylvain Carufel : Non, c’était des vidéos qui allaient être utilisées pour faire le lancement orchestré.

Olivier Roland : Tu as commencé par le produit avant de commencer par l’audience.

Sylvain Carufel : Exactement.

Olivier Roland : Intéressant.

Sylvain Carufel : J’ai lancé ma page Facebook au tout début, ça a été la première chose. J’ai trouvé mon nom tout de suite : « La solution est en vous ».

Donc, j’ai fait un brainstorming autour de ça. Ensuite, j’ai ouvert une page Facebook. Et tranquillement, j’ai nourri ma page jusqu’à ce que je fasse mon premier lancement orchestré. Je pense que c’est trois ou quatre mois plus tard après avoir ouvert la page Facebook.

J’ai créé un produit, et je me suis lancé comme ça.

Olivier Roland : Et ton produit, c’était sur ?

Sylvain Carufel : En fait, je me suis énormément auto-saboté dans ma vie. En musique, il y avait de belles portes qui s’ouvraient, ça allait relativement bien.

Je n’étais pas une star, pas du tout, mais il y a des gens qui voyaient du potentiel en moi, qui avaient envie de m’aider, qui m’ouvraient des portes. Et je ne croyais pas assez en moi. Je me disais que les autres faisaient mieux que moi. Je m’auto-sabotais.

Olivier Roland : Tu te fermais les portes tout seul.

Sylvain Carufel : Je ferme les portes moi-même.

Donc, je suis allé voir ce coach-là. Et Jean Pierre m’a beaucoup aidé justement à identifier mes pensées limitantes et à les renverser à l’aide d’affirmation qui était rédigée selon sa méthode à lui.

Ensemble, on a convenu d’utiliser sa méthode, d’en faire un produit. Et j’ai créé ma part du produit. Je me suis servi de ce que j’avais, mon équipement d’enregistrement studio.

A l’époque, j’utilisais un micro, un pré amplificateur, une carte de son, tout ce qu’on peut faire aujourd’hui avec un micro USB. Et puis, je me suis lancé dans un lancement orchestré. Ça a bien été.

Olivier Roland : Tu peux partager un peu les résultats que tu as eus avec ce lancement ?

Sylvain Carufel : Oui. J’étais parti d’une liste de 300 personnes environ qui venaient d’un projet qui n’avait pas fonctionné avant.

Olivier Roland : Des gens qui étaient dans ta liste à toi ?

Sylvain Carufel : Qui étaient dans ma liste à moi, qui venaient d’un autre projet. Je les ai amenés à s’intéresser à mon nouveau projet. Ça a été une première base avec laquelle travailler.

Mais ce que j’ai fait surtout, c’est que je suis allé chercher une personne qui connaissait des personnes qui avaient des réseaux.

J’ai bâti mon réseau à partir de celui d’autres personnes en les intéressant de par mon approche, mon contenu, ma façon de faire et avec des taux de commission intéressants aussi sur le produit qu’on allait vendre.

Donc, je suis passé d’une liste de 300 personnes à 2700-3000 après 14 jours. On a fait autour de 30 000 dollars de ventes.

Olivier Roland : 30 000 canadiens, ça fait 20 000 euros, quelque chose comme ça on va dire.

Sylvain Carufel : 23 500.

Olivier Roland : Tu as calculé, d’accord. 23 500. C’était la première fois que tu gagnais de l’argent sur Internet.

Sylvain Carufel : Oui.

Olivier Roland : Et donc, tu as vu que c’était possible.

Sylvain Carufel : J’ai vu que c’était possible. Ça fait vivre tout un paquet d’émotions.

Ma première réaction, c’est : mon Dieu, qu’est-ce que j’ai fait ? J’ai arnaqué tout ce monde !

Dans le fond, ce n’était pas du tout vrai, mais j’avais eu le syndrome de l’imposteur parce que je n’étais pas habitué d’avoir, parce que déjà j’avais demandé à mon coach : est-ce que c’est possible de générer autant d’argent aussi rapidement ?

Il m’avait dit : oui, si tu y crois, tu peux trouver une façon de le faire.

Et là, c’est vraiment arrivé.

Olivier Roland : Et pour toi, c’était oui. La première fois que vous faites plus de 20 000 euros en une semaine, tu te dis : c’est incroyable.

Sylvain Carufel : Je me suis dit : Mon Dieu, qu’est-ce que j’ai fait ? J’ai vu, on a livré le contenu, on a livré la marchandise. Notre clientèle a été satisfaite. Donc, il n’y a pas eu de problèmes.

Là-dessus, mon coach Jean Pierre a dit : c’est bien beau Sylvain. Il a été appelé vers autre chose. Il avait déjà des engagements.

Puis, je me suis juste dit : je ne vais pas arrêter. Le modèle avait fonctionné, avait fait ses preuves. J’aimais ce que je faisais, je sentais que j’avais une emprise sur ma vie.

Je ne voulais pas me présenter en tant que coach pour ma part, je suis musicien, je ne voulais pas prétendre être quoi que ce soit que je n’étais pas. Alors je me suis tout simplement posé la question : qu’est-ce que j’ai besoin d’améliorer dans ma vie ?

Et je suis allé chercher des gens qui étaient des ressources dans toutes ces sphères-là parce que je pense que le « je » souvent rejoint le « nous ». Alors, je me suis dit : si moi, j’ai besoin de ça, je ne dois pas être le seul.

Olivier Roland : Oui. C’est sûr.

C’est une bonne piste quand vous cherchez un sujet ou un domaine dans lequel vous vous lancez, qu’il y a un potentiel économique, c’est de voir déjà les problèmes que vous avez rencontrés parce que comme tu l’as dit, c’est très rare qu’on soit le seul sur terre à les rencontrer.

Et si on a déjà trouvé une solution qu’on peut faire un partenariat avec quelqu’un qui a des solutions, tout de suite, ça peut aider pas mal de gens.

Sylvain Carufel : Oui. Ensuite, j’ai créé un programme qui s’appelle « Ma vie en main » et j’ai lancé ça. Ça a été encore une fois très bien. A ce moment-là, j’étais le seul capitaine de mon bateau.

J’ai développé mes partenariats. Je suis allé cogner de l’autre côté. On m’a introduit à des gens comme Olivier Seban. J’ai suivi les lancements. Ici au Québec, je participais aux lancements de Martin Latulippe.

Olivier Roland : Qui est un conférencier très connu ici.

Sylvain Carufel : Très connu, un super bon gars.

Sylvain Carufel : En le voyant parce que comme vous le savez ou peut-être que vous ne le savez pas, mais quand on fait un lancement orchestré, il y a aussi l’arrière-scène dans laquelle tous les gens qui font la promotion, il y a des discussions qui se passent avec nous, avec les promoteurs.

Donc, j’ai pu voir qui faisait la promotion du programme de Martin, et d’autres sur d’autres promotions aussi. Et là, je me suis mis à voir qui performait bien et j’ai contacté ces gens-là, les gens qui évoluaient dans le même domaine où j’avais les mêmes besoins, où j’avais des besoins.

C’est comme ça que j’ai rencontré Olivier Seban. Je suis allé voir à Miami, on a fait des vidéos là-bas pour mon lancement. Puis, de fil en aiguille, ça a évolué et Facebook aussi en parallèle. Et ma vie aussi a évolué de façon générale, mais ce n’était pas qu’une question d’argent.

Olivier Roland : Oui, tu as retrouvé l’amour.

Sylvain Carufel : Oui, c’est ça.

En prenant soin de ma vie, finalement, tout s’est rétabli en même temps.

Oui, c’était des finances, mais c’était aussi mon estime personnelle, c’était aussi ma santé. C’est un peu tout ça. Et puis, en amour aussi, c’est sûr que tout ça se répercute.

Ce n’est pas toujours facile d’être un entrepreneur pour l’autre moitié, la douce moitié, mais c’est certain qu’on évolue là-dedans.

Pour moi, le web, c’est vraiment ce qui m’a permis de reprendre l’équilibre dans ma vie. Et si on m’avait dit j’allais être où je suis aujourd’hui il y a trois, quatre ans, j’aurai eu de la difficulté à le croire.

Olivier Roland : Oui, c’est vrai que c’est un beau parcours. Et ce qui est génial, c’est que tu as réussi à transformer toutes tes faiblesses en force. Peut-être pas toutes, mais en tout cas une bonne partie.

Tu ne t’es pas laissé démonter par ce qui t’est arrivé. Au contraire, tu l’as utilisé pour corriger ce qui n’allait pas et après le partager ce que tu avais pu trouver en partenariat avec des experts pour bâtir ton propre business.

C’est quand même extrêmement malin et c’est une méthode que vous pouvez aussi reproduire dans votre domaine. Pas forcément dans des choses qui touchent autant les problèmes personnels. Ça peut être aussi bête.

Par exemple, je suis fan de judo. Mais d’abord quand je me suis lancé, j’ai eu plein de problèmes, j’ai galéré parce que je n’arrivais pas à faire telle ou telle technique. J’ai été voir tel prof et il m’a aidé, il m’a débloqué tout ça. Du coup, je vais faire un blog sur le sujet, je vais faire une formation sur le sujet pour aider les gens qui sont dans la même démarche que moi, qui veulent progresser en judo à aller plus loin.

C’est exactement ce qu’a fait Sylvain pour des choses qui sont beaucoup plus émotionnelles, qui touchent à des problèmes personnels. Mais la démarche est la même quel que soit le domaine.

C’est quelque chose que vous pouvez très bien faire. C’est un critère parmi d’autres. Ce n’est pas juste parce que vous avez un problème que forcément, ça fait un bon sujet de produit ou de blog ou de communauté.

Sylvain Carufel : Il faut qu’il y ait un marché.

Olivier Roland : Voilà, il faut qu’il y ait un marché, donc il y a aussi une étude de marché à faire. Mais c’est un bon critère de manière générale, c’est un bon indice qu’il y a quelque chose.

Sylvain Carufel : Et je pense aussi qu’un des facteurs qui a contribué au succès de « La solution est en vous », c’est aussi l’histoire, un peu celle que je vous raconte là.

Je l’ai raconté à ces gens-là. Donc, les gens comprenaient qui s’adressait à eux. Ils se sont identifiés à moi aussi. Et ça, je pense que c’est super important.

En tu le fais très bien aussi. Le fait de parler sur un ton sympathique, naturel, authentique, je pense que c’est important.

Olivier Roland : Oui. C’est ce que je partage par exemple dans mon livre « Vivez la vie de vos rêves grâce à votre blog ».

C’est que si les gens viennent voir votre blog, s’ils viennent sur votre page Facebook, s’ils viennent sur votre chaîne YouTube, plutôt que de lire des journaux, regarder la télé, etc. c’est en partie parce qu’ils aiment cette connexion qui est beaucoup plus humaine avec vous, cette relation.

Et quand vous regardez une vidéo comme celle que vous êtes en train de regarder, si vous êtes dans une dynamique qui est totalement différente que quand vous regardez une émission en France où on ne s’adresse pas à vous, on s’adresse à des gens qui sont dans l’émission

Sylvain Carufel : C’est au-delà de la télé réalité.

Olivier Roland : Et puis, on joue un certain rôle dans ces émissions-là après. Ici, on est plus authentique je pense. C’est exactement la même chose.

Sylvain Carufel : Non, mais c’est sûr qu’on ne vous connaît pas personnellement tous.

Olivier Roland : Mais il y a cette notion qu’il y a une connexion plus humaine et ça passe aussi par cette simplicité.

Et partager votre histoire, c’est vraiment un excellent conseil qui a très bien marché pour moi, qui marche très bien pour Sylvain, qui marche pour beaucoup de personnes.

N’hésitez pas à vous montrer tel que vous êtes.

Vous êtes un être humain, vous avez des faiblesses. Et si vous essayez d’avoir l’air trop parfait, les gens ne vont pas se connecter et puis surtout, ils vont savoir que c’est n’importe quoi parce que personne n’est parfait. Ils vont trouver ça bizarre.

Ça peut-être être aussi une manière pour vous de limiter la peur parce que quand on crée son premier article, quand on publie son premier podcast, quand on publie sa première vidéo, ça fait toujours très peur. Et dites-vous que si vous êtes imparfait, c’est très bien.

Sylvain Carufel : Je n’ai pas arrêté de le faire aussi, de me retrouver à dire : Je ne suis pas un expert, je remets cette responsabilité dans les mains des vrais experts dans le domaine du développement personnel. Mon domaine, c’est la musique.

Ça m’a permis de progresser plus rapidement parce que je n’avais pas à créer tout le contenu. J’étais juste le gars qui introduisait les autres.

Et ça m’a permis aussi d’aller plus vite et de présenter les gens plutôt que d’avoir tout créé. Ça m’a servi.

Olivier Roland : Merci beaucoup Sylvain d’avoir partagé ton parcours qui, j’espère, va vous inspirer.

Ça vous montre simplement qu’on n’a pas besoin d’être parfait pour démarrer, on peut utiliser ses faiblesses comme des forces.

Et un bon indice pour savoir si vous êtes sur quelque chose d’intéressant ou pas, c’est de prendre ce qui a été un problème pour vous et d’aider les gens à surmonter les mêmes problèmes.

Tout est bien qui finit bien. Je vous laisse une vidéo bonus sur l’entreprenariat libre.

 

14 Responses

  1. C’est vraiment intéressant. J’ai connu Sylvain Carufel il y a quelques années via Facebook et cet homme a un grand coeur et il est très sympatique. Je suis vraiment content que Sylvain ait réussi car il a beaucoup travaillé et ces efforts ont porté fruit.

    Bravo Sylvain et continu ton excellent travail!

    Ton ami David.

  2. J’aime beaucoup son état d’esprit, ce qu’il a réussi à faire est vraiment digne de respect !
    On apprend beaucoup en regardant l’histoire de personnes comme vous deux, vous croyez en ce que vous faites et vous avez réussi à en faire votre métier.
    C’est très inspirant et motivant à livrer de l’excellent contenu sur mon blog pour arriver un jour à vivre de ce que j’aime.

  3. Salut Olivier,

    Super sympa et inspirant comme interview.

    Impressionnant que Sylvain touche 20 millions de personnes par semaines… ça fait presque 100 million par mois !!!

    Et toi, tu en touche combien ?

    Je pense qu’avec les inscrits de ton blog, tes abonnés YouTube et les recherches organiques… tu dois être pas mal non plus 🙂

    Samuel

  4. c’est fou le naturel qu’il dégage, après tout ses déconvenues il réussit plutôt très bien, mais qu’est ce qui attire à ce point les internautes? il doit soulever un problème majeur chez les gens, car si j’ai bien compris, il suffit d’apporter une solution à un problème donné pour attirer du monde à soi.
    J’avoue 20 millions par semaine c’est énorme.
    Quelques pistes me seraient bien utiles.
    Merci

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olivier roland

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